Archives de
Tag: Wonderswan

A la découverte de la PSP

A la découverte de la PSP

En mode #Stayhome depuis bientôt 4 semaines, je n’ai guère trop le temps de me rouler les pouces. Entre les devoirs, les enfants, le télétravail… j’ai surtout mis à profit les moments de temps libre pour occuper les p’tits monstres ou m’occuper du jardin baigné de soleil ! Ceci dit, je n’ai pas trop envie de lire trop d’actualité… COVID19, COVID19… j’ai besoin de penser à autre chose. Je me suis dit donc dit que ce serait le bon moment pour sortir de sa pochette la console portable de Sony, la PSP. Mon joli modèle fuchsia était venu s’ajouter à ma collection il y a déjà deux ans. A cette époque j’en avais juste fait un tour d’inspection avant de partir vers le sud avec en « poche » quelques jeux à faire découvrir à Charly.

Etonnement, je ne m’étais que très peu intéressé à cette console qui arrivait chez nous durant l’automne 2005, près d’un an après sa sortie au Japon. Cette première console portable du fabricant Sony fut donc la rude concurrente de la populaire Nintendo DS. Chez nous, c’est la portable de Nintendo qui avait eu nos faveurs dès sa découverte en 2006 et jusqu’à il y a peu encore avec les premières consoles des enfants. En main, la PSP est pourtant un bel objet qui rappelle l’élégance des téléphones de la marque ! On est loin du style « GameBoy », Sony a créé, comme il l’avait fait avec la console PlayStation, une portable mature et dont l’une des originalité est le stockage des jeux et films sur support UMD, une évolution des Minidiscs que la marque avait tenté d’imposer sur le marché HiFi à la fin des années 90.

A trouver, Ultimate Ghosts'n Goblins sorti 2006
A trouver, Ultimate Ghosts’n Goblins sorti 2006

Si la Nintendo DS lui avait été préférée, c’est essentiellement une question de ludothèque ! En effet, la majorité des jeux arrivant sur la PSP sont des adaptations de jeux présents sur la PlayStation 2 : Final Fantasy, Metal Gear Solid, Kingdom Hearts, GTA, Daxter, Ratchet & Klang,… Or, j’ai déjà tout l’équipement nécessaire pour jouer à ce type de jeux sur ma télévision !

Aujourd’hui, c’est avec un tout autre regard que je découvre la console et tout la série de jeu de ma collection. Il s’agit donc d’une PSP de série 3004, console de 3° génération qui débarque en 2008 avec notamment un écran amélioré, qui reste malgré tout un peu fade en pleine lumière. Aujourd’hui, il est assez facile de trouver pour quelques euros de nombreux jeux PSP qui est clairement dans le creux de sa vague d’intérêt, même si bien évidemment certains titres sont plus difficile à trouver, comme par exemple Castlevania : The Dracula X Chronicles ou Ultimate Ghosts’n Goblins.

Gratter le bitume.

Gratter le bitume sans me prendre la tête, sans parader dans les rues, sans tutos et sans leçons de freinage. C'était mieux avant quand mêm
Gratter le bitume sans me prendre la tête, sans parader dans les rues, sans tutos et sans leçons de freinage. C’était mieux avant quand mêm

Comparativement à la Nintendo DS et sa puissance 3D largement en retrait, la PSP de Sony propose un très large catalogue de jeux de course de voiture. Sega Rally, Burnout, Motorstorm et les épisodes annuelles de la série Need for Speed, le choix est vaste ! Si à l’époque on faisait évidemment mieux de la PlayStation 2 à la PlayStation 3, se caler dans son fauteuil avec sa PSP à gratter le bitume sans aucune prise de tête plutôt que de lire les statuts confinés sur Facebook est loin d’être déplaisant. Graphiquement, sur le petit écran de la PSP, les titres ne souffrent pas trop d’une 3D vieillissante, même les jeux de la première génération auquel j’ai joué (WRC et Need For Speed : Most Wanted) ne s’en sortent pas trop mal. Néanmoins, les titres réalisés en parallèle à la sortie d’un jeu sur la PlayStation 3 sont clairement un cran au dessus ! La folie des circuits de la série Motorstorm est parfaitement retranscrite dans l’épisode exclusif à la PSP Artic Edge. Burnout Dominator nous invite à des courses endiablées et cascades en tout genre avec autant de réussite que les épisodes auxquels je jouais en fin de vie de ma PlayStation 2. Enfin parmi les titres essayés, c’est clairement SEGA Rally EVO et Need For Speed Shift qui m’ont apporté le plus de satisfaction.

Lire la suite Lire la suite

Playing 2017

Playing 2017

L’année 2017 s’en est allée, et comme j’aime à le faire, c’est l’occasion de prendre le temps pour faire le point sur l’impact qu’aura eu l’univers du jeu-vidéo dans ma vie.

Alors que cette année fut  marquée par le retour tonitruant de Nintendo avec sa nouvelle console hybride la Switch armée dans un premier temps du nouveau Legend of Zelda puis en fin d’année de la sortie d’une nouvelle aventure de Mario, ici 2017 fut l’année où j’ai décidé de faire la paix avec Sony pour enfin franchir le pas de la nouvelle génération de console. Oui, voilà déjà un bon moment que je boudais la Playstation 4 et la position prise par Sony de rendre tout le contenu des précédentes générations incompatibles, y compris tous les achats de jeux dématérialisés….

A l’aube de la quarantaine, il me faut donc bien admettre que je deviens ce genre de joueur grognon qui trouvait que c’était mieux avant et qui de plus n’a pas tant de temps à consacrer à jouer… Mais, rien y fait, j’aime le monde du jeu-vidéo.

Horizon : Zero Dawn - PS4
Horizon : Zero Dawn – PS4

Si je vous invite bien-sur à découvrir mon Top/Flop chez Press-Start, vous retrouverez ici l’ensemble des jeux durant l’année.

(…) Ici, l’effet Waouw est au rendez-vous comme il l’avait été avec le retour de Tomb Raider auquel je jouais début 2015 et The Last of Us à sa sortie durant l’été 2013. Visuellement, Horizon Zero Dawn est un régal avec des environnements lumineux, vastes et colorés, des jeux d’ombres et de lumières fantastiques, des détails allant du lierre sur les arbres aux poussières qui virevoltent ou tout simplement les textures des personnages. On en a plein les yeux ! (Lire la suite sur Press-Start)

Alors, en 2017 j’aurais joué à …

Lire la suite Lire la suite

Pacman Syndrome : A la sauce rétro

Pacman Syndrome : A la sauce rétro

Leikki Super nintendo
Leikki fait revivre la Super Nintendo

La sauce rétro commence à prendre. Si j’ai la chance d’avoir trouvé NES, Super Nintendo, Megadrive ou Game Boy juste avant que cela ne se transforme en mode, on commence à voir émerger divers projets dans cet esprit avec notamment la société Leikki, qui après avoir remis au gout du jour de vieux téléphone Nokia, propose des consoles Super Nintendo et Game Boy Color renettoyées et repeintes… mais à un tarif encore un peu salé, soit 140€ pour une SNES ou 80€ pour la GameBoy Color… Quand je pense que j’ai acheté la mienne 5€ il y a quelques mois !

En réalité, c’est Lekki qui sort une version remasterisée de la console culte de Nintendo. Après s’être attaqué aux téléphones, la firme passe maintenant aux consoles, avec cette SNES repensée et assez réussie. Lekki propose la console en 4 couleurs : jaune, vert, bleu et orange, pour un look vintage kitch à souhait. Vendue dès aujourd’hui au prix de 140 €, la Super Nintendo version Lekki est livrée avec une manette et le jeu culte Super Mario World. Elle est disponible sur le site officiel ou dans les boutiques partenaires. (A lire dans le Journal du Geek)


J’ai également constaté que la vague rétro vibrait toujours sur Commodore 64. En effet, l’entreprise RGDC encourage et édite la création de nouveaux jeux pour le mythique micro-ordinateur, sur port cartouche ! C’est le cas de Get’Em DX, un genre de Pacman like qui me fait grandement penser à notre projet de Slurp ‘n Burp que mon frangin et moi avions en tête à la fin des années 90.

 

D’ailleurs, c’est assez amusant, mais je suis également tombé sur Chompston qui dans le même esprit, lui dispo sur PC gratuitement. On cette fois dans un mélange entre Bomberman et Pacman !


Dans mes vagabondages sur le net, je suis tombé sur l’un des jeux les plus beaux jeux GB, mais également très difficile à se procurer : Trip World. Le jeu est d’autant plus étonnant qu’il n’y a pas réellement d’ennemis…

Développé par Sunsoft en l’an de grâce 1992, Trip World est à première vue un petit jeu de plate-forme comme il y en a beaucoup (trop ?) sur game boy. Certes c’est super beau vu les limites du support, rien que le premier écran en jette un max je trouve, mais si on se contente des screenshots difficile de déceler le côté « expérimental », voire franchement culotté de ce qui semble être un petit jeu pour collégienne fan de Hello Kitty. (…) Contrairement à 99,9% des jeux de plate-forme depuis Mario, Trip World ne vous jette pas dans un environnement hostile : la plupart des animaux que vous croiserez ne sont tout simplement pas agressifs, et vous ne prendrez jamais de dégât par simple contact et ce même contre les boss. En fait tant que vous ne les attaquez pas la majorité se contenteront de se balader en vous poussant gentiment (ce qui peut toutefois être dangereux s’ils vous poussent dans une fosse remplie de piques…). Vous pouvez même les utiliser par exemple pour atteindre un bonus inaccessible. (Un article à lire ici)


Si difficile à se procurer, la solution pouvant alors nous orienter vers l’émulation ! Et justement Nikopik sur son blog nous présente RetroArch, une application Android qui permet d’émuler à peu près toutes les veilles consoles sur son smartphone !

Vous avez dépensé des sommes folles en piécettes sur les bornes d’arcade, passé des heures à vous user les pouces sur Nes, Master System, Megadrive, PC Engine, Super Nintendo, Playstation 1, et vous avez joué dans les transports sur Gameboy, Color et Advance, Neo Geo Pocket et Wonderswan ? Difficile de trimbaler une pareille collection de rétrogaming avec vous pour que vous puissiez y jouer n’importe où n’est-ce pas ? Et bien avec le multi-émulateur que je vais vous présenter, vous allez pouvoir bénéficier de toutes ses consoles et ses bornes d’arcade directement dans votre poche si vous avez un smartphone Android. ( A lire sur Nikopik)