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Le 4° tome de la trilogie Hunger Games

Le 4° tome de la trilogie Hunger Games

J’ai déjà eu l’occasion de le raconter, je ne suis pas un dévoreur de roman. Néanmoins, depuis la découverte d’Harry Potter, j’ai pris un plaisir certain à m’évader avec un bouquin entre les mains, même si je reste encore fort difficile quant au style d’écriture. Alors que nous allions tomber dans la « seconde vague » en novembre dernier, ma p’tite sœur nous avait prêté le 4° tome de la trilogie Hunger Games, fraichement débarqué en librairie.

Découvert début 2012, le premier roman de la série de Suzanne Collins avait su me donner l’élan nécessaire à apprécier autre chose que Harry Potter, en mettant en avant par ailleurs, mon intérêt pour la thématique de la dystopie. De l’ouverture des 74° Hunger Games, les jeux de la faim impliquant Peeta et Katniss tiré au sort comme candidat du district 12. La mise en avant de la pauvreté des habitants des districts et la débauche de richesse des habitants de Panem. La ludification, digne d’un grand jeu de télé-réalité où des 24 tributs, il ne restera qu’un seul survivant, et la romance entre les deux personnages principaux. Le second tome offrira son lot de rebondissements, d’alliances, avec le lancement des 75° Hunger Games aux règles inhabituelles. Et enfin, un affrontement finale, une rébellion contre le pouvoir de Panem représentée par le président Snow, dans un dernier tome que j’avais trouvé un peu moins agréables à lire, un peu trop « militaire » et stratégique.

Avec une trilogie clôturée, l’annonce d’un 4° tome était étonnante. La presse avait très vite fait savoir que celui-ci se poserait sur le personnage du Président Snow, et l’on pouvait craindre une approche « la même histoire vue d’un autre personnage », comme Stephanie Meyer l’avait amorcé afin de rentabiliser un peu plus l’univers de son roman Twilight.

Mais il n’en est rien, ce nouveau roman « La Ballade du Serpent et de l’Oiseau chanteur » se concentre sur la jeunesse de Coriolanus Snow. Sans trop spoiler, mais un peu quand même, je vous partage mon appréciation du roman.

###SPOILER###

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La Toscane en mode famille nombreuse (2° partie)

La Toscane en mode famille nombreuse (2° partie)

Le temps passe tellement vite, tant de choses se sont déjà passées depuis notre retour d’Italie. Les soirées à boire un petit Apérol avec madame pendant que les enfants mangent leur pizza au soleil tombant sur la terrasse d’un restaurant toscan me semblent être un lointain souvenir déjà. Il est temps de vous emmener dans cette 2° partie de nos aventures dans les collines du Val d’Elsa à la découverte de Monteriggioni, Florence, Sienne poussant jusqu’aux archipels toscans. Bien évidemment en 10 jours, il ne fut pas possible de visiter l’ensemble des idées préparées dans mon roadbook !


Plus rien dans les assiettes, mais c'était vraiment bon !
Plus rien dans les assiettes, mais c’était vraiment bon !

J6. Monteriggioni – Colle di Val d’Elsa – Casole d’Elsa (61km)

Où allons-nous aller aujourd’hui ? Pendant que les enfants rendent visite aux animaux de la petite ferme, j’essaie de prendre la température auprès de notre hôte Roberta. Demain, c’est le Pallio à Sienne. C’est un grand évènement, la place centrale de la ville est pour l’occasion transformée en course de chevaux. Cela doit probablement offrir de magnifiques photos, mais avec quatre jeunes enfants… Cela va rendre probablement les choses un peu compliquées et les accès en voiture seront également probablement plus complexes. Peut-être vaut-il mieux prévoir Sienne après cet évènement plutôt qu’avant. Par contre, aujourd’hui il semblerait que l’on fête la Saint Martin à Colle di Val d’Elsa, avec festivités et feu d’artifice. Nous pourrions-nous prévoir cela pour la fin de journée et partir visiter la ville médiévale fortifiée de Monteriggioni qui ne se trouve qu’à une vingtaine de minutes de la Casa Verniano.

Perdu dans les collines du Val d'Elsa
Perdu dans les collines du Val d’Elsa

Il faut un peu grimper pour s’y rendre et… ce n’est pas bien grand. Quelques petits commerces autour de la place principale, un accès payant aux remparts, des restaurants hyper touristiques loin de la gastronomie attendue en Italie. Mais une affiche qui nous inspire ! J’avais effectivement repéré qu’un festival médiéval était prévu à Monteriggioni pour le weekend, après notre départ. Mais il semblerait bien que celui-ci démarre en réalité dès le vendredi soir ! Voilà qui devrait offrir une ambiance bien plus vivante à ce bel endroit qui semble encore un peu endormi…

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Lectures en cours…

Lectures en cours…

Pile de livre sur ma table de nuit

Je parle de beaucoup de chose sur mon blog, mais il est vrai que les bouquins y trouvent assez peu leur place. Pourtant, ma vie est à l’image de ma table de nuit. Remplie de belles choses, de découvertes, d’envie d’aller plus loin, de choses que je mets de coté et d’autres qui m’oblige à faire du ping pong…

J’ai entamé Le livre perdu des sortilèges durant l’été 2013 sous le soleil d’Italie. J’ai été transporté intensément par l’histoire de Diana Bishop chercheuse dans une prestigieuse université anglaise se découvrant d’une grande lignée de sorcière et tombant amoureuse d’un vampire. Un livre bien différent des histoires à la Twilight qui ne m’ont jamais intéressées et pourtant je suis resté à l’arrêt dans l’histoire… espérant un jour m’y remettre et surtout une adaptation cinématographique !

Un livre, c’est beau ! Oh grand jamais je ne pourrais me résoudre à ne pas avoir l’objet en main et j’apprécie beaucoup être séduit par les couvertures des jolies éditions de romans modernes que je découvre régulièrement sur le compte instagram de Sophie Lvrdr. Il y a tout juste un an j’avais été plus qu’intrigué par le roman La 5° Vague. Entre La Guerre des Mondes et Walking Dead, j’avais bien accroché le rythme effréné du roman entamé en janvier dernier. Mais ce dernier se retrouvait déjà sur le petit écran, ne me laissant pas vraiment le plaisir d’en savourer le dénouement… Puis, il y a la trilogie du Passe Mirroir et son 1° tome Les fianciés de l’hiver que je viens de commencer. J’avais offert ce roman il y a quelques temps déjà à madame qui l’avait adoré, comme toutes les personnes à qui nous l’avions recommandé. Mon boulot devrait me permettre de rencontrer son auteur Christelle Dabos dans les semaines à venir et il me tenait à coeur de me plonger dans cette univers avant cela !

A coté de tous ces romans, il y a mes divers ouvrages sur la culture « Playhistoire » signés Pix’n Love que je continue à enrichir… La biographie d’Eric Chahi par Daniel Ichbiah toujours en standbye. J’alterne pour l’instant les chapitres de l’excellent bouquin « la révolution PlayStation » avec mon livre de l’été « la guerre des mascottes » dont mon frangin vient tout juste de publier une excellente critique !

Enfin, j’ai parfois besoin de moments simples, je (re)découvre depuis un bon moment déjà l’univers de Jojo de Geerts à mesure de mes achats sur brocante. Trop ignoré étant enfant, j’y trouve une magie de simplicité, de nature et de poésie de l’enfance incroyable. La série débutée à la fin des années 80 a vraiment su vivre avec son temps et apporter des petites références à l’évolution de l’enfance dans les années 90 puis 2000. Et pour clôturer, c’est également au coté de Yoko Tsuno, idole de ma jeunesse que j’aime à voyager. L’été dernier, j’avais commencé à relire l’ensemble de la série qui n’a pas perdu une ride pour enfin me plonger dans les aventures électroniques jusqu’ici inédites pour moi avec un excellent le tome 24 : Le 7° code.

Divergente 3 : Une bande son captivante

Divergente 3 : Une bande son captivante

Divergente 3 : Au-delà du mur (2016)
Divergente 3 : Au-delà du mur (2016)
Source : Tmdb.com

Quelle bonne surprise que ce 3° film et demi de Divergente ! Je ne partais pourtant pas vraiment sur l’idée d’aller voir « un bon film ». Autant le tout premier film m’avait bien plu, posant le décors d’une univers post-apocalyptiques, les factions et des les personnages de Trice et Four plutôt convaincant dans un style un peu Teenage movie, autant j’avais été assez déçu de la suite, prévisible, molle et partant dans des effets spéciaux peut convaincant.

Je n’étais donc pas vraiment optimiste quand ce qui allait se passer. Les 3° tome s’étant montrés plutot décevant jusqu’ici (Twilight, Hunger Games,…) et trop régulièrement coupé en deux pour rallonger la sauce comme cela fut initié avec le dernier Harry Potter.

Le début de « Allegiant » (Au de là du mur de notre coté du globe) se présentait assez mal. Le chaos, des ados fou furieux et ce sentiment en permanence d’être dans un studio sur fond vert… Seul la rythmique de l’aventure était là pour me tenir en halène… Puis j’ai découvert ce qu’il y avait de l’autre coté du mur !

Non pas une grande surprise. Le Post Apocalyptique, ça me connait ! Hunger Games, The Maze Runner, Walking Dead, Monsters, La Route, Revolution, La 5° Vague… Je pense avoir tout testé. Mais il faut bien admettre que cela découvert, tous les effets spéciaux que je trouvais « trop kitch » se sont montrés efficaces. Les choix fait sur les technologies utilisées par Le Bureau et surtout comment elles apparaissent à l’écran sont vraiment réussis et … si le scénario n’est pas des plus originaux, il se montre tout à fait convaincant !

Et puis… Surtout… il y a cette bande son qui de se distille tout au long du film. Toum toum toum toum, toum toum toum toum…. avec des instruments synthétiques digne de Tron, quelques notes répétitives qui viennent construire et décliner tout le film. Un savant mélange d’orchestration, de distortion et ambiance électro. Un travail de maitre signé Joseph Trapanese qui m’a captivé tout au long du film !

Il est probable que sans cette bande son, j’aurais juste trouvé le film chouette et meilleure que le 2. Mais ce point bonus accompagné du plaisir de retrouver des personnages connus et appréciés et des technologies SciFi originales font qu’au final ce 3° Divergente est une véritable bonne surprise !

On en oublierait presqu’il s’agit d’une moitié de film… On a pour son argent et l’histoire semble se terminer de manière naturelle. Je me questionne même… Que pourrait-on raconter d’intéressant de plus ? Une contre attaque, de l’infiltration… Mmm, cela va être difficile de faire quelque chose d’originale pour la suite… mais laissons-leur une chance !

Twitter Joe Composer

Video Games, jusqu’à la dernière page.

Video Games, jusqu’à la dernière page.

Et voilà, je viens de terminer les dernières pages du roman Video Games, un livre présenté un peu avant Noël comme le « Twilight » pour Geek fan de jeux vidéo et mettant bien en avant sa paternité par le scénariste de la série en vogue : Game of Thrones.

Commencé il y a seulement 2 mois, j’ai été assez rapide pour venir à bout des 300 pages de ce roman. Il me faut bien admettre que le début m’avait plutôt bien attiré, et j’avais enfilé les chapitres rapidement pendant mes vacances à Montpellier. Mais rapidement l’ambiance qui me plaisait s’est évaporé et fil des chapitres la motivation à pour suivre la quête d’Adam Pennyman n’était plus là.

C’est vrai que j’avais pourtant bien accroché à l’approche métaphysique étonnante proposée sur Pacman ou Donkey Kong. A la relation ambiguë entre le singe, la princesse et le charpentier… à l’espace intemporel que parcours Pacman lorsqu’il traverse le tunnel,… mais hormis cela, de nombreux éléments ont commencé à me déranger.

Je pense que tout d’abord, le plus difficile est de pouvoir s’identifier à Adam. Ses réflexions entre sa quête aux motivations tordues et le monde autour de lui, son boulot, « les femmes » est tellement bizarre que l’on ne peut s’y retrouver. J’ai même eu de fil en aiguille un besoin de me désolidariser complètement de toute ressemblance éloignée à quelqu’un comme lui.

On sent également fortement une grosse différence de qualité et d’intérêt dans la narration entre certains chapitre. Et pour cause ! A l’origine, il s’agit d’une nouvelle « Lucky Wander Boy » écrite au début des années 2000. Elle raconte l’histoire d’Adam qui part à la recherche désespérée de la conceptrice d’un jeux-vidéo très rare qui l’avait marqué quand il était gamin… Autour de cette dernière, D.B. Weiss à broder une histoire un poil plus complexe,… juste un poil. Alors que je m’attendais à une histoire « moderne », on sent très vite des références à un univers « Geek » qui n’a existé qu’une fraction de seconde dans notre monde…

En effet en 2013, une histoire qui se place à l’époque de l’arrivée des d’Internet et des Start up à la Yahoo et Caramail, fait bien vieillotte.

Bref, très rapidement, le concept du catalogue de jeux obsolète, laisse place à des délires sur des jeux qui n’existe pas en réalité, tel que Eviscerator et Lucky Wander Boy… Et j’ai un peu de mal à vraiment accroché à tout cela.

Bref, Video Games reste pour moi une déception. Je dois bien dire que je préfère mille fois lire un bon Pix n Love pour rester dans le sujet. Mais au moins suis-je arrivé au bout !

Je passe donc maintenant au roman Les Âmes Vagabondes, qui vient d’être transposé au Cinéma.