Si les premières semaines d’utilisation de notre nouvelle voiture, avec un aller/retour en Provence n’ont pas vraiment permis d’analyser la consommation d’une semaine type, la fin du mois de mai était plus proche de nos habitudes et le bilan est plutôt positif.
999km parcourus avec un même plein de 45L d’essence. Même, si la taille du réservoir de mon Volkswagen Multivan n’est pas généreuse pour une grande familiale, les trajets du quotidien en full électrique et les plus longs déplacements en hybride sur batterie me permettent de réduire par 2 ma consommation !
Avec un soleil plus généreux pour charger la voiture en mai, cela aurait été parfait.
Mais de soleil, oh le plus lamentable des astres, vous n’en avez que cinq qui forment le mot PLUIE ;)
Après avoir sorti des archives la Super Vision et la Game Master ces deux dernières années, je poursuis donc ma découverte des consoles tentant de concurrencer la Game Boy de Nintendo au début des années 90, toujours à la recherche de celle que possédait mon ami Xavier…
Puisqu’il ne s’agissait d’aucune de ces deux consoles, me restait à mettre la main sur une Gamate et/ou une Mega Duck.
Je me suis donc concentré sur la première, qui avec sa forme de SEGA Game Gear, se rapproche le plus de mon souvenir : console noire, allongée, monochrome et proposant des jeux plus basiques que la Game Boy.
Effectivement, une fois en main, la Gamate se montre clairement moins « noble » que les consoles de SEGA et Nintendo, même si elle repose sur une technologie d’écran DOT MATRIX LCD comme annoncée sur la Game Boy de Nintendo. Bien que proposant un écran d’une résolution de 160×152 pixels, un peu plus grand que celui de la Game Boy, la console se montre moins imposante.
La Gamate de BIT Corp, un air de Game Gear, des composants copiant la Game Boy.
J’ai cru un moment que cette console était poussée par l’un des studio anglais B.I.T.S. ayant développé des jeux pour la Game Boy et la Super Vision. Ce qui me faisait dès lors imaginer une console, certes moins folichonne que la Game Boy, mais qui serait de qualité honorable. Malheureusement, j’ai confondu le studio B.I.T.S. avec la société Taiwanaise BIT Corp. qui va donc concevoir la Gamate. Il ne s’agit pourtant pas pour celle-ci d’une première apparition sur le marché des jeux-vidé ! Après avoir réalisé quelques jeux pour l’Atari 2600 et la Coleco Vision, BIT Corp. avait par exemple conçu pour le marché asiatique une console pouvant lire les cartouches Coleco Vision ainsi que les Cards de la console SEGA SG-1000.
Dans l’ouvrage A la découverte de Consoles Insolites d’Anthony Boudin chez Third Edition, on évoque d’ailleurs l’idée que la Gamate aie été développée par rétro-engineering, soit en analysant le mode de fonctionnement de la Game Boy de Nintendo, les composants des deux machines étant particulièrement proche.
A l’image de la Game Master et de la Super Vision, ce sont plusieurs sociétés qui vont s’occuper de la distribution de la console sur le marché Européen au tout début des années 90, dont GIG en Italie et en Belgique, une entreprise bien établie dans l’importation de jouets, comme par exemple les Micro Machines ! Lancée en 1990, la Gamate sera accompagnée de pas moins de 50 jeux là première années, et en proposera un peu plus de 100 avant de petit à petit disparaitre.
Avec un prix moindre que la Game Boy, sa poussée sur le marché italien a probablement permis à la Gamate de se démarquer parmi les autres clones de Game Boy dans cette partie de la Belgique !
Le packaging italien proposé par GIG du jeu Marauder pour la Gamate.
On ne va pas se mentir, j’avais un certain plaisir à me promener virtuellement dans les brocantes que proposent Vinted, application découverte un peu avant la pandémie.
C’était ma petit bulle d’oxygène, je pouvais chiner cartouches Game Boy et autres vieux jeux vidéo autant que des Micro Machines, Gobots et tout autres vieilleries qui me parlent.
Le concept me semblait génial, on fait une offre, l’autre partie la valide et clic clac, via PayPal on paie. La plateforme s’occupant ensuite de toute la partie expédition avec de nombreux transporteurs un peu partout en Europe à faible cout.
Mais depuis bientôt un mois, Vinted a supprimé mon option « PayPal » !
Glisser une bulle pour faire le vide, s’évader juste tous les deux, quelques heures de ce TGV quotidien que nous marque depuis le début de cette rentrée. Entre mon boulot et celui de madame, les questions, craintes, inquiétudes, les attentes de l’école, les nouvelles activités après l’école… Une brèche se plaçait le dernier Weekend de Septembre après avoir conduit les Filles à la Pasto au fin fond du Pays de Herve et les deux autres à leur répétition de spectacle.<
C’était l’occasion de retrouver un peu de quiétude dans le joli jardin japonais de Hasselt – Japanse Tuin qui me donnait envie à découvrir depuis quelques années. L’un temps d’un aller/retour jusqu’à Hasselt, qui m’aura d’ailleurs fait bonne impression.
Fin septembre, Le Japanse Tuin n’était pas encore totalement dans ces couleurs d’automne, mais cela reste tout de même un plaisir de retrouver, un moment, un goût de parenthèse au Japon que nous avons pu découvrir chacun de notre côtés il y a quelques années.
Le Jardin Japonais de Hasselt - Japanse Tuin - Petite Snorkys Photography - Quena SCS, 2023
Le Jardin Japonais de Hasselt - Japanse Tuin - Petite Snorkys Photography - Quena SCS, 2023
Le Jardin Japonais de Hasselt - Japanse Tuin - Petite Snorkys Photography - Quena SCS, 2023
Le Jardin Japonais de Hasselt - Japanse Tuin - Petite Snorkys Photography - Quena SCS, 2023
Le Jardin Japonais de Hasselt - Japanse Tuin - Petite Snorkys Photography - Quena SCS, 2023
Le Jardin Japonais de Hasselt - Japanse Tuin - Petite Snorkys Photography - Quena SCS, 2023
Le Jardin Japonais de Hasselt - Japanse Tuin - Petite Snorkys Photography - Quena SCS, 2023
Le Jardin Japonais de Hasselt - Japanse Tuin - Petite Snorkys Photography - Quena SCS, 2023
Un son pure et cristallin, sans le moindre parasite ni modification de vitesse. Une technologie de pointe laser. Un accès instantané et millimétré à chacune des pistes, voilà la nouveauté qui aura marqué mon passage de l’enfance à l’adolescence, le CD Audio débarquait chez nous à la fin de l’année 1990 !
Si la technologie existe a été lancée il y a déjà 8 années par Philips et Sony, c’est bien dès la Génération 90 que ce support musical va se démocratiser !
Après plusieurs années de recherche… déception, j’ai enfin retrouvé mon tout premier Compact Disc, la compilation Top Dance volume 1 publiée chez Indisc.
J’imaginais la tâche assez simple, mais c’est qu’en réalité, cette compilation a été uniquement disponible en Belgique avant que le label Top Dance ne passe sous le giron de Skyrock vers la France… Il y a un an et demi, je pensais avoir trouvé mon bonheur, malheureusement, le disque à l’intérieur ne correspondait pas !
On y retrouvait quelques tout nouveau hits tels que Everybody’s free de Rozalla, le dernier tube du groupe The KLF – Last Train to train central ou encore Army of Lovers – Crusified. Néanmoins en 1991, j’étais toujours un grand fan de Benny B mais également du courant Techno et Megamix de l’époque.
Ma motivation face à cette compilation spécifique qui allait rassembler tout une série de titres pour « seulement » 600Fb reposait sur le dernier morceau Dit Moi Bébé de mon rappeur préféré, le megamix en version longue de The Unity Mixers – Electrosound et le titre Techno Rave de Anasthasia de T99.
Aux cotés de ces incontournables, j’allais également retrouver d’une part des morceaux bien connus de l’émission Dix Qu’on Aime : BB. Jérome & The Bang Gang et les indiens de Wamblee et d’autre part des nouveaux morceaux, moins réussis, de groupe que je connaissais déjà. Nomad (It’s just a groove, it’s just a groove) ou encore Plaza (Oh oh, oh oh, nanana)…