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Category: Pacman Syndrome

Quelques derniers souvenirs avec la Mega Drive

Quelques derniers souvenirs avec la Mega Drive

Les vacances touchent à leur fin, un peu bousculées. D’ici la fin du Weekend, la console Mega Drive retournera dans son petit musée. J’aurais bien encore tenté de comprendre comment on joue à PowerMonger et Syndicate, les deux derniers jeux récupérés, mais il faut bien admettre que l’un et l’autre sont loin d’être intuitifs. Je m’arrêterais en revanche sur deux adaptations de titres qui auront marqué ma vie de joueur dans les années 90 sur PC : Vroom (Formula One) et LHX Attack Chopper.

Mais avant cela, une petite parenthèse de circonstance au lendemain d’Halloween. Si j’avais déjà eu l’occasion d’essayer plusieurs versions de Ghosts’n Goblins avec mon ami Santo, je n’avais pas encore vraiment approfondi sa suite, Ghouls’n Ghosts.

Ghouls 'n Ghosts - MD (SEGA - Capcom, 1989
Ghouls ‘n Ghosts – MD (SEGA – Capcom, 1989

Ghouls’n Ghosts

 

Ghouls 'n Ghosts sur Megadrive, un jeu d'actualité !
Ghouls ‘n Ghosts sur Megadrive, un jeu d’actualité !

Si j’avais déjà eu l’occasion d’essayer plusieurs versions de Ghosts’n Goblins avec mon ami Santo, je n’avais pas encore vraiment approfondi sa suite, Ghouls’n Ghosts que nous avions rapidement glissé dans la console il y a 5 ans.

Le gameplay reste totalement similaire, on dirige notre héros armé dans des contrées envahies de hordes de monstre qui s’acharnent sur ce dernier. Dans un concept Arcade « Rush’n Gun« , la série est particulièrement difficile et le moindre contact, le moindre faux pas se solde d’abord par la perte de notre équipement, puis en ne gardant qu’un caleçon et une épée, il faudra éviter de perdre la vie et espérer peut-être trouver une nouvelle armure… C’est le côté humoristique du titre de Capcom, mais les morts sont tellement fréquentes que l’on n’en rit plus au bout de quelques minutes !

J’ai pu regarder jouer un pro pendant plusieurs heures, et cela m’a permis d’être attentif à certains éléments du jeu, de quoi me permettre d’avancer à travers les premières zones du jeu. Difficile de ne pas perdre ensuite mes vies dans les tornades qui modifient la justesse des sauts, ce qui me rend déjà affaibli lorsque j’arrive au pied de la montagne qu’il me faut gravir en évitant les queues de scorpions.

Ce Ghouls’n Ghosts est particulièrement vache ! Je pense que la moitié des coffres que j’ai ouvert proposaient un bonus, l’autre moitié des sortilèges me faisant vieillir, me transformant en canard ou simplement venant m’anéantir !

Pas de quoi me pousser à aller plus loin, car finalement, Ghouls’n Ghosts sur Mega Drive fait partie des premiers jeux de la console et il n’offre pas vraiment de graphismes relevés, ni d’effet spéciaux, juste une adaptation de la version Arcade sortie une année plus tôt !

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En mode Mega Drive : De Road Rash à Marsupilami

En mode Mega Drive : De Road Rash à Marsupilami

Les vacances se poursuivent et la Mega Drive s’est donc invitée à la maison. Je vous partageais hier ma critique de l’adaptation de Block Out, un Tetris en mode 3D et le trop ambitieux Batman Forever développé par l’équipe de Mortal Kombat !

Je m’arrêté aujourd’hui sur Marsupilami qui offre une rare place dans le monde vidéoludique au personnage de BD créé par Franquin, avant de me faire surprendre par Road Rash II !

Marsupilami Mega Drive (SEGA - Apache Software, 1995)
Marsupilami
Mega Drive (SEGA – Apache Software, 1995)

Marsupilami

Un jeu avec le Marsupilami, voilà qui m'intrigue !
Un jeu avec le Marsupilami, voilà qui m’intrigue !

Étonnamment, il n’y a pas eu beaucoup de jeux-vidéo mettant en avant l’étrange animal créé par Franquin, le Marsupilami !

Plus agile que Donkey Kong, rapide et malin comme Sonic et pouvant bénéficier de sa longue queue comme un ressort ou un poing, le Marsupilami n’avait pourtant pas à démériter face à la horde de nouveaux héros animaux de la génération 90s !

Et pourtant, avant son retour il y a quelques années sur Nintendo Switch et autres PS4, le Marsupilami n’aura eu droit qu’à une épisode, pour le moins discutable sorti sur Mega Drive en 1995 et réalisé par le studio britannique Apache Software qui est loin d’avoir beaucoup d’autres titres à son tableau !

Après un logo SEGA customisé plutôt réussi et une série de menus flashis, on retrouve notre Marsupilami qui semble s’évader d’évader d’un cirque. Le tout se présente comme un jeu de plateforme où l’on saute de caisse en caisse, on ramasse quelques bonus et l’on utilise la queue du Marsupilami comme un poing pour se débarrasser des ennemis ! C’est assez classique, il est même amusant de voir ce que les développeurs ont tenté de programmer pour animer la queue du Marsupilami afin de donner une sensation de mouvement, le petit défit technique de l’époque.

Mais rien n’y fait, pour terminer le 1° niveau, il y a un anneau de feu à traverser et je ne vois pas comment s’y prendre.

Le frangin venu en renfort aura constater que nous avons pris certains bonus qui nous permettent d’utiliser la queue du Marsupilami comme un escalier ou en visage… Il y a même un Piaf qui nous rappelle d’utiliser l’escalier… mais pour faire quoi ? Oui, il y a une bassine d’eau… et si, et si… et si en réalité le but du jeu était de faire un chemin pour l’éléphant qui se promène au début du niveau jusqu’à cette bassine pour qu’il puisse ensuite éteindre le feu ! Ah vindju, ce n’était pas intuitif.. mais peut-être qu’en lisant le manuel, j’aurais pu comprendre cela ??? Difficile à dire, je n’ai que la cartouche du jeu !

Quoi qu’il en soit, même en comprenant que nous sommes plus dans un Krusty Fun House / Eek the Cat où l’avatar doit guider un autre personnage que dans un Super Mario, cela ne rend pas la tâche plus aisée… et le Marsupilami sera venu au bout de notre patiente et de notre détermination.

marsupilami fait un retour en jeu vidéo dans "Le secret de la momie"
marsupilami fait un retour en jeu vidéo dans « Le secret de la momie »

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On a ressorti la Mega Drive pour les vacances !

On a ressorti la Mega Drive pour les vacances !

Enfin les vacances de Toussaint sont arrivées. Un grand besoin de souffler, mais vu la météo, l’idée de ressortir la SEGA Mega Drive m’a plus que traverser l’esprit. Il y a 5 ans, elle avait plutôt eu un certain succès, surtout auprès d’Alice et Juliette. « On va pouvoir jouer à Paperboy ! » Oui, c’était bien sur l’occasion de ressortir Paperboy II, de faire découvrir les deux premiers Sonic The Hedgehog à Rose, ainsi que Le Roi Lion. C’était pour moi aussi la possibilité de (re)découvrir toutes une série de jeux ramenés au fils des brocantes de ces dernières années !

Tout d’abord, rebranché la console ne fut pas si aisé. Depuis lors, VOO ne diffuse plus sur le canal hertzien, ce qui a rendu plus difficile l’activation des chaines analogiques sur la télévision, et obtenir le signal de la télévision sur le canal C36. Avec la disparition de la prise antenne sur les prochaines télévisions, il faudra prochainement investir dans un boitier spécifique pour pouvoir brancher sa Mega Drive sur une télévision moderne.

Surprise également, ma Mega Drive II se comporte étrangement. Les musiques de plusieurs, dont les deux Sonic tournent au ralenti et sonnent faux. Les manettes répondent mal. Transistors vieillissants ? Mon modèle de secours a pu prendre le relais juste avant l’arrivée de Papy.

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James Pond, l’agent secret de la désillusion

James Pond, l’agent secret de la désillusion

De temps à autre, je poursuis l’exploration des vieux jeux vidéo qui viennent trouver refuge dans mon petit musée. En effet, je garde toujours dans mon salon une petite boite avec une bonne vieille Game Boy et quelques cartouches, et il y a peu, j’avais déniché la version Game Boy Advance de James Pond II : Codename Robocod.

adaptation de James Pond II sur Game Boy Advance
adaptation de James Pond II sur Game Boy Advance

Sorti au début des années 90, James Pond est un poisson agent secret venant se frotter aux différentes mascottes de héros de jeux vidéo de l’époque de Sonic l’hérisson en passant par Bubsy le chat ou encore Zool fourmi Ninja.

A l’image de ses camarades, le jeu James Pond se présente comme un jeu de plate forme au scrolling rapide et aux mouvements nerveux où vous devrez ramasser un nombre important de bonus avant de trouver la sortie… en l’occurence dans ce second épisode, sauver des pingouins disparus de la fabrique de cadeaux du Père Noël.

Présenté dans le Joystick n°40 de 1993, James Pond II avait l'air tellement génial !
Présenté dans le Joystick n°40 de 1993, James Pond II avait l’air tellement génial !

Si mon frangin et moi avons longuement pendu la langue devant les somptueux graphismes colorés et les animations drôles réalisés par le studio Vectordean, nous n’avons pu fantasmer sur le plaisir d’y jouer que dans les magasines Joystick et Mega Power de l’époque y présentant les versions Amiga, Mega Drive et Super Nintendo.

En effet, jamais nous n’avons pu mettre la main sur un James Pond version PC… et ce ne sera que bien des années plus tard que nous pourrons voir réellement faire tourner le jeu, dans un premier temps via émulation.

S’il y a quelques années, j’avais bien tenté d’approfondir l’univers de James Pond avec ma cartouche Megadrive du 3° épisode, emmenant notre poisson espion sur une lune en fromage qui nous avait particulièrement inspiré par le passé, lorsqu’aujourd’hui je tente d’explorer le portage sur Game Boy Advance, de James Pond II : Codename Robocod sorti plus de 10 ans après la version originale, il me faut rapidement tirer la conclusion que James Pond est une vraie désillusion.

Si la version Amiga proposait une petite animation avec des pingouins. Les différentes adaptations ont proposé un impressionnant dessin animé à l’américaine sur l’Amiga CD 32 qui se loupe dans la narration autant qu’une catastrophique animation qui rappelle certaines productions des pays de l’Est pour son portage sur les consoles PlayStation. Finalement, celle qui a été ajoutée par le studio Créature Labs pour l’adaptation du jeu sur Game Boy Advance reste dans le ton, sans pour autant impressionner. Exit les pingouins pour cette ré-écriture du début du siècle, ce sont maintenant les elfes du Père Noël qui ont été kidnappé et qu’il faudra délivrer !

 

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On ressort l’Atari Lynx

On ressort l’Atari Lynx

Rentré de vacances en Ardèche, je poursuis durant mes congés ma découverte de la ludothèque de la console portable Atari Lynx qui venait à l’époque tenter de se faire une place sur le tout récent secteur du jeu vidéo nomade.

Si la Lynx n’a pas réussi à convaincre, malgré un écran couleur assez réussi et lisible, c’est en autre par un manque flagrant de Hits qui lui aura mis du plomb dans l’aile. Si l’on y retrouve plusieurs portages de classiques de l’Arcade américain, ce sont souvent les exclusivités Atari et Epyx qui proposent des expériences intéressantes, puisque les deux sociétés ont collaboré à conception de cette console !

Il me restait quelques nouvelles cartouches à découvrir ajoutées ces derniers mois dans mon petit musée. Après Hard Drivin’ il y a quelques semaines déjà, je vous propose cette fois Blue Lightning, Turbo Sub et Checkered Flag.

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