Pour le dernier match en vert d’Alice Martin, j’avais pris notre matériel de chasse afin de lui laisser quelques beaux souvenirs de cette magnifique année avec ses amies du Basket.
Tu nous a offert une fin de match à 100%, nous montrant, si cela était encore nécessaire combien tu prenais du plaisir dans ce sport, car comme je le racontais il y a quelques semaines, il y a un an, tu jouais « simplement » au Basket dans la cours des 6°… quel incroyable progrès tu as fais avec cette équipe, lors de chaque entrainements, puis matchs.
Impossible de ne pas remercier ton coach Marc Jérome qui a su te mettre en confiance, te permettre de trouver ta place sur le terrain, de parler basket, de jouer en équipe, intégrer une tactique…
Vous terminez ainsi en beauté cette saison avec le titre de championne U14 provinciale !
Rendez-vous en rouge pour l’année prochaine, tu es, quoi qu’il en soit, prête à rebondir !
La Nintendo 64 est une console que j’ai totalement boudée pendant de longues années. Je n’ai donc pas suivi l’arrivée de la licence Extreme G de Probe et Acclaim lorsque le titre sortira en 1997 sur la console.
A cette époque, je joue sur PC et dans le créneau, ce sont des titres tels que Wipe Out et Hi Octane auxquels je me suis essayé, je l’avoue sans grande réussite.
Ce n’est qu’en 2002 que je découvrirai la série Extreme G avec l’épisode 3 puis Association sur ma Playstation 2. Des courses endiablées et folles de motos futuristes, le tout sur des bandes son électro particulièrement géniales, de quoi à l’époque m’occuper en attendant de pouvoir découvrir quelques années plus tard F-Zero GX sur GameCube.
Trouvé pas hasard chez chez Mario Shop, XGIII : Etreme G Racing de course de moto futuriste super rapide était vraiment très sympa. Difficile à prendre en main, mais une belle alternative à F-Zero chez Nintendo… Les environnements étaient bien réalisés et surtout les musiques Trance entrainantes… Bref, ça décoiffe !
Je me plonge aujourd’hui dans ce premier Extreme G en tâchant de le regarder avec le regard d’un joueur de la fin des années 90. Lorsque le titre sort sur la Nintendo 64, il vient offrir une autre vision du jeu de course que ce que propose Mario Kart 64, d’autant qu’à l’époque, le nouvel épisode de F-Zero n’est pas encore sorti.
Graphiquement, les motos en 3D sont particulièrement rigides, bien plus que les vaisseaux de WipeOut. Ce n’était peut-être pas très attractif en 1997, aujourd’hui, je trouve que cela apporte un effet rétro assez amusant.
En solo, la prise en main est excellente ! On ressent cette vitesse folle, bien plus que sur le Pentium 120 MHz et ma petite carte graphique de l’époque. Ce sentiment de vitesse qui fera d’ailleurs partie de l’essence de la série.
Côté musique, Extreme G offre déjà une B.O. électro de qualité, totalement dans la mouvance de l’époque, une approche plus à mon goût que le côté underground de Wipe Out.
Oui, ce premier Extreme G me donne une bonne impression, les circuits essayés sont réussis, tortueux, plongeant, et j’y retrouve le plaisir de jeu que j’ai pu avoir avec les épisodes sur PlayStation 2.
Il semble qu’à l’époque le multijoueur pêchait de ralentissement…. Cela a-t-il été corrigé avec l’arrivée du jeu dans le catalogue du Nintendo Online ?
Parents d’une famille nombreuses implique parfois de sacrés défis d’organisation… Ce Weekend ne manquera pas de piment !
Aujourd’hui, pendant que l’équipe A se rend à Sambreville avec Charly et Rose pour une nouvelle représentation de leur spectacle « Le Temps d’un accord » avec Honypop, l’équipe B déposera Juliette au Palais des Congrès de Liège pour une grande répétition avant le gala de ce soir où elle présentera son spectacle de PomDance et de Cheerleading aux côtés des autres élèves de l’école de danse Dancelikeme.
Il faudra pour se faire composer avec les milliers de cyclistes amateurs qui participent ce samedi au Liège-Bastogne-Liège, rendant les sorties de notre quartier compliquées.
Demain, nouvel journée de Gala ! Cette fois, toute la famille pourra venir voir les performances de Juliette tout en calculant avec précision nos déplacements, car cette fois, la course cyclistes officielle du LBL Messieurs et Dames ferme complètement notre quartier probablement entre 14 et 17h30.
Alors, ma fois, on ne s’en sort pas si mal ! Le dernier match de championnat U14 de Basket d’Alice, initialement prévu dimanche matin à Sprimont a été reporté à la semaine prochaine !
Reste qu’avec tout cela, nous ne pourrons probablement pas nous rendre à l’Ecole de Rose qui ouvrait au public tout ce weekend la grande exposition d’Art, un beau moment qui aurait permis de venir découvrir les créations de notre mistinguette et ses camarades autour d’un grand projet pédagogique.
D’autres photos suivront… Mais en ce moment, les photos familiales ont un certain retard.
Pas plus tard qu’il y a deux semaines, je me faisais la réflexion : « Wouw, qu’est-ce qu’il y en a des photos de Basket dans mon téléphone ! »
J’ai parfois moins pris le temps de m’arrêter sur notre vie de famille, mais depuis le mois d’août, Alice a rejoint l’équipe de Basketball Fille U14 de Sprimont. Quelques mois plus tôt, alors que déjà depuis un an, elle nous demandait pour faire du Basket, j’avais constaté en la récupérant à l’école que, finalement, elle se débrouillait pas si mal sur les paniers de la cours de l’école.
Madame avait déjà sondé le problème l’année d’avant, des clubs de filles, il n’y en a pas. En réalité, c’est surtout que dans les catégories U12, U10,… qui ciblent les enfants à l’école primaire, les équipes sont mixtes. Mais pour l’été, nous avions dans un premier temps trouvé un stage au Liège Panthère, mais également la possibilité de rejoindre une nouvelle équipe qui se formait à Sprimont.
Pas simple de démarrer à presque 12 ans le Basket ! Très souvent, on s’y retrouve bien plus tôt. Si Alice se débrouillait avec son ballon, il fallait encore apprendre les règles, travailler son dribble et toutes les autres techniques pour tirer. Apprendre à jouer en équipe, prendre confiance. Mais ma chérie, dès le premier jour où je suis venu te voir à l’un des entrainements, je t’ai senti vivre « TON » truc à toi. Et quand on est jumelle, on a peut-être besoin encore plus.
Rapidement, nous sommes donc allés supporter ton équipe. Si dans un premier temps, l’idée pour moi était de te permettre de comprendre comment se passe un match, les règles, les phases de jeux,… Parce que oui, clairement, le monde du Basket nous était totalement étranger. Très vite, je me suis senti devenir non pas juste ton supporter, mais également celui de ton équipe ! J’ai été suppris de l’accueille et la bienveillance des autres parents de tes coéquipières qui nous ont accueillis dans l’équipe, faisant bien vite de nous des supporters de Sprimont. Et je me retrouvais dans les gradins à crier « Let’s go Sprimont ! »
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