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Month: novembre 2017

Les misstinguettes ont eu 6 ans !

Les misstinguettes ont eu 6 ans !

Vous dire que le temps passe à toute vitesse, qu’elles grandissent à vue d’oeil ne serait pas assez fort ! Non, c’est bien simple le monde tourne tellement vite autour de moi que je n’ai même plus le temps de poster dans les temps ces moments forts sur le blog… Même les photos tardent à venir remplir les répertoires sur le disque dur.

Et pourtant, voilà qui est fait, Alice et Juliette ont maintenant 6 ans ! Un sixième année qui nous aura mis à l’épreuve d’un caractère bien trempé et pourtant fragile d’Alice … et des folies souvent trop bruyantes de Juliette. Pour sur la vie à six est loin d’être de tout repos, et ces deux misstinguettes nous offres de l’animation en stéréo !

Ce fut aussi une année un peu frustrante. Nous avons souvent la sensation qu’elles s’éloignent. Les moments de complicité se faisant plus rares… Comme si être ensemble était inévitablement signe de tempête. Elles donnent l’impression de se mettre en compétition et parfois, notre maladresse de parents imparfaits ouvrent la porte à cela…

Vos 6 ans mes filles, c’étaient aussi l’occasion d’inviter vos copains et copines de classe à la maison… Sacrée ambiance, il faut bien l’admettre ! Puis enfin terminer en famille avec nos amis par un petit Weekend à Center Park.

Espérons que cette nouvelle année vous offre de beaux moments… et qui sait un peu de sérénité aussi ?

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La vie en double +2 : Les petits sacrifices des familles nombreuses

La vie en double +2 : Les petits sacrifices des familles nombreuses

Une grande famille, c’est beau, c’est plein de vie… mais parfois, on se pose des questions en tant que parent face aux regards des autres,… des enseignants par exemple… Bref, je suis tombé sur ce beau témoignages sur le blog 4 Enfants que je lis régulièrement. Voilà de quoi un peu relativiser ce sentiment d’être un moins bon parent que ce que je n’aimerais l’être.

Je suis la première à vanter les mérites de la grande famille et à m’extasier devant les liens particuliers qui unissent mes petits. La famille nombreuse, je la savoure comme un bonbon. C’est délicieux, mais il arrive parfois que ça pique un peu.Quand j’ai appris que nous passerions de 2 enfants à 4, j’ai surtout pensé aux grosses problématiques, comme celles liées au logement, à la voiture assez grande ou aux agendas façon Tetris qu’il faudrait superposer. Mais je n’avais pas en tête tous les petits sacrifices du quotidien, tous ces petits moments où je me dis que tout serait tellement plus simple, si je n’en avais qu’un. (A lire sur le blog QuatreEnfants.com)

Et ici, si nous n’avions qu’un seul enfant,… correction dans le texte.

Je pourrais l’écouter raconter sa journée d’école sans être obligée de l’interrompre 5 fois à cause du petit des filles qui veutlent absolument raconter un truc aussi. Un truc mieux, un truc urgent, un truc plus grand, enfin un truc qui mérite absolument d’être dit MAINTENANT. Je pourrais entrer un peu dans le détail de sa journée, lui poser des questions, puis répondre au siennes autrement que par un simple oui ou un rapide non,… au suivant !

Je ne serais pas obligée de compter le nombre de  gnocchis kellogs dans chaque assiette bol pour être certain d’arriver à une égalité parfaite. Ni vérifier dans la poubelle le nombre de berlingot de cacao bu afin de m’assurer que l’on est bien à 1 par personne ! 

Je ne dirais pas « laisse ta soeur tranquille » en boucle, inlassablement, invariablement, toutes les 20 minutes. Je ne réglerais aucun conflit, je n’entendrais plus de cris.

Je l’emmènerais chez le pédiatre AVANT que la rhino ne se transforme en bronchiolite. Peut-être même qu’on ferait la visite des 2 ans, puis celle des 3 ans, il parait que c’est important.

On partirait en week-end sur un coup de tête, on louerait une cabane dans les arbres ou une maisonnette près de la plage, comme ça, au dernier moment. On mettrait 3 slips dans un sac et roule ma poule on se casse à la mer …

Je discuterais 5 minutes avec les parents à la sortie de l’école, j’aurais un peu de temps, et on s’amuserait à plaindre cette pauvre Valérie, elle doit tellement galérer, elle, avec ses 4 enfants …

J’attendrais chaque mercredi avec plaisir. Je planifierais des sorties ciné ou musée, et on irait manger une glace à Tilff après une petite balade à vélo.

Je lirais une histoire le soir en entier, sans être dérangée toutes les 2 minutes pour une histoire de doudou, de j’ai encore soif ou de y’a ma soeur qui veut pas sortir de mon lit.

J’aurais attendu qu’il soit au collège pour le laisser rentrer seul. C’est plus rassurant, et c’est vrai qu’il est encore un peu tête en l’air à tout juste 10 ans. (On y est pas encore… mais ça sent déjà le Bus de la TEC, j’avoue)

Il ferait du baby-tennis, de la baby-gym, de la baby-pétanque, et tout un tas d’autres trucs où je pourrais l’encourager et le voir progresser. Je l’accompagnerais aux matchs et aux galas de fin d’année, peut-être même que je consacrerais mes mercredis à ses activités. Disons que Théatre/louveteau, Danse/Baladdin… c’est déjà le max que je puisse faire !

Je zapperais les courses de temps en temps, et quand le frigo serait vide, on se ferait livrer le diner, tout simplement. On pourrait sur un coup de tête allé tous ensemble au resto !

Je mettrais mon réveil une heure plus tard chaque matin. Un seul petit-dej à préparer, ça va pas nous prendre la matinée.

Je pourrais oublier de lancer la machine à laver de temps en temps sans flipper du retard accumulé.

Et oui, toutes ces choses, je ne peux plus les faire…. Avoir plusieurs enfants, c’est jongler  avec le temps, c’est anticiper beaucoup, c’est négocier tout le temps. Avoir plusieurs enfants, c’est ne pas pouvoir trop se laisser déborder, c’est devoir passer sa vie à l’organiser…

Et pourtant, si je n’avais qu’un seul enfant, je crois que je passerais mon temps, à rêver des suivants … << Ben voilà,… je confirme !! Si cela vous parle, passez régulièrement faire un tour sur ce blog !!

Zut, j’ai loupé la lettre à Saint Nicolas

Zut, j’ai loupé la lettre à Saint Nicolas

Cher Saint Nicolas, tu nous excuseras du retard. Avec le Japon et un mois de Novembre à toute vitesse, il n’a pas été facile de s’organiser pour mettre en oeuvre l’après-midi rédaction de la lettre que les enfants devaient t’envoyer. Par ailleurs, tu me permettras de signaler à tes partenaires commerciaux de la S.A. Saint Nicolas que sont Carrefour, Cora, L’Olifant et La Parenthèse que je n’ai pas reçu officiellement leur catalogue, obligeant à reporter et reporter encore le moment où nous allions organiser ce petit exercice. Seule l’équipe Cora aura répondu de manière efficace à ma demande pour que nous recevions notre magasine.

Bref, déjà en manque de bons éléments à découper pour que les enfants choisissent les meilleures idées, le tout à finalement dû se réaliser en manque d’effectif pour le coaching des bonnes idées, ce qui de fait, aura laisser apparaitre quelques surprises sur les lettres de Charly, Alice et Juliette…

Pour ma part, je ne suis guère fier de ces trois petits monstres et je n’oserais donc glisser la mienne dans l’enveloppe…. No Switch, no Mario…

 

Pour Charly, évidemment un baffle pour tablette était l’élément principale qu’il voulait coller sur sa lettre… on l’aura poussé à mettre un peu d’autres choses et sont réapparus comme l’année dernière un commissariat de Police, des véhicules pour construire et un Rubikcube. Chez Juliette, un équipement de docteur pour les poupées, une voiture pour Barbie, des LEGO et .. un Tamagotchi ! Alice complétant avec des Playmobils ou encore du maquillage… Ah oui, et Rose dans tout cela ?

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Rectangles à roulettes de luxe ou Kawaï

Rectangles à roulettes de luxe ou Kawaï

C’est bien ma veine. Alors que ma VW Caddy, comme chaque début d’hiver m’énerve avec son témoin « problème de catalyseur », voilà que la Dacia de madame que j’avais pris en renfort cette semaine grippe son barillet de contact ! Raah, rien de tel qu’une voiture japonaise ! Je n’ai jamais eu un seul soucis, ni une seule plainte à adresser à notre Suzuki Swift et notre Honda Jazz… Mon seul regret, un manque flagrant de modèles adaptés à mes besoins ! La Mistubishi ASX était trop petite pour nous 5 en, la Nissan Quashquaï avait alors perdu son « +2 » et la Toyota Sienna ne s’est jamais adaptée au marché européen !

Or quelle ne fut pas ma surprise lors de mon arrivée au Japon de découvrir dans les rues de Tokyo un nombre impressionnant de petites et grandes voitures aux traits anguleux qui m’étaient totalement inconnues ! Daihastu Cocoa, Toyota Vellfire, Suzuki Hustler, Daihastu Wake, Toyota Voxy, Suzuki Lapin, Daihastu Canbus ou Toyota Tank et tant d’autres modèles chez Nissan ou Honda…

De part chez nous, seul Nissan s’est osé à nous proposer la Cube et l’Evalia hors de cette gamme qui semble tout à fait optimisée pour prendre le moins de place possible sur les routes et dans les parkings. Il faut bien admettre qu’ici ce sont surtout les affreux chars d’assault agressifs (comprenez S.U.V.) qui ont le vent en poupe, voiture parfaite pour contourner les brises vitesse et dominer la route de son ego… VW d’ailleurs ne cessant d’étoffer sa gamme de la Touareg, Tiguan et maintenant T-Rock afin suivre le courant d’Audi, Porsche, Jaguar, BWW ou Volvo…

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Japon, droit devant !

Japon, droit devant !

Il y a des choses auxquels on ne s’attend pas toujours… Partir en reportage vidéo une semaine au Japon en faisait clairement partie. De retour depuis quelques jours maintenant, il ne fait aucun doute que ce voyage m’aura marqué, tant pour l’intensité du projet que nous y réalisions que pour la découverte de ce nouveau monde à l’autre bout de la planète.

Akihabara de nuit
Akihabara de nuit

Depuis bien longtemps le Japon me fascinait tant pour sa culture du Jeux-Vidéo que pour les mangas,… mais aussi son architecture, ses voitures, sa culture, sa musique, ses produits multimédia ! Le Japon m’a toujours donné l’impression d’être une destination de pèlerinage numérique !

Certes, avec des journées de travail de parfois près de 18h, je n’ai pas vraiment eu l’occasion de flâner dans la ville. Néanmoins, travailler à 200 à l’heure m’a par contre permis de vivre à la même vitesse que la ville et mon esprit n’a cessé d’analyser et ramener des souvenirs, des mémos de cet univers quasi futuriste aux côtés de notre civilisation européenne encroûtée…

J-1 Let’s flight to Tokyo

12h de vols + 7h de décalage horaire, encore un train à prendre pour arriver à la gare de Tokyo et nous étions déjà à pied d’oeuvre pour tourner les capsules MOOC de la journée dédiées à « L’esprit Kyocera« . Nous le savions, la semaine serait intense pour boucler notre planning et ce rythme intense aidait aussi à ne pas succomber à la fatigue…  Bref, il était déjà tard lorsque nous arrivions ensuite à l’hôtel, nous laissant une fin de soirée pour découvrir la cuisine locale, les galeries souterraines de magasins improbables et rapporter les premières images d’Akihabara, le quartier historique du jeux-vidéo japonais. Je pensais y « perdre » des albums de musique made in Cyborg Jeff, mais force m’est de constater qu’il est impossible de perdre quelque chose au Japon,… On viendra toujours vous le rapporter !

Dès cette première journée, le choc était impressionnant. Nous avions la grande chance d’avoir Claire à nos cotés qui parle le japonais couramment et connait parfaitement la ville. Sans cela, il aurait été impossible d’être autant efficace dans l’organisation de nos déplacements… ou tout simplement choisir notre repas ! J’espérais partir sur place avec mon « Apprends le japonais » sur Nintendo DS, mais ce dernier s’est perdu dans un bureau de poste. Je n’avais donc en poche qu’un Moshi Moshi, Konishowa et Sayonara issu de mes lectures de Yoko Tsuno…  Et ce n’est guère très utile ! Si il y une phrase à retenir, ce serait plutôt : 有難うございます。(à prononcer : Arigatougozaimaaaas) qui veut dire qqch du genre : Un tout grand merci ou Au revoir et merci beaucoup…

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